Author:Patrick Giry-Deloison

Perspectives et facteurs clefs de succès des CSP

Dans un contexte économique incertain, les réflexions autour de Centres de Services Partagés représentent aujourd’hui encore une opportunité dans différents secteurs, et posent de nombreuses questions et difficultés, complexes à adresser.

Pour échanger sur ces sujets, nous vous signalons le petit-déjeuner :

Centres de Services Partagés

Perspectives et facteurs clés de succès dans un contexte économique évolutif et incertain

Rendez-vous le mardi 24 mars 2020 à partir de 8h30 chez Colombus Consulting – 138 avenue des Champs-Elysées, 75008.

Points de vue d’experts, témoignages clients, retours d’expériences et temps de partages rythmeront cette matinée.

Informations & inscription : cliquer ici


Columbus Consulting fait partie des intervenants à notre récente Rencontre « Start-ups et grandes entreprises – Comment collaborer ? » dont l’édition 2020 se prépare déjà >> contactez nous si vous voulez y participer en nous écrivant à FITT@FITT-France.org

Financer le business à impact en 2020

Le 25 février dernier, le Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation (FITT France) et l’INSEAD Alumni Association France (IAAF) organisaient la Rencontre

 

Business à impact : Comment le financer ?

 

Les intervenants invités par les deux associations à débattre étaient :

Christian Lim, Founding Partner, Blue Oceans Partners

Clémence de Rothiacob, gérant du fonds Richelieu CityZen, Richelieu Gestion

Antoine Sire, Director of Company Engagement & Member of the Board, BNP Paribas

Prof. Hans H. Wahl, Director of the INSEAD Social Entrepreneurship Initiative, INSEAD

 

Ce débat était la 6° Rencontre annuelle de FITT France consacrée à l’impact et s’inscrivait dans l’initiative Business & Society de l’IAAF, en ligne avec les dix-sept objectifs de développement durable des Nations Unies et à la suite du ChangeNOW Summit de Paris

En ouverture du débat co-animé par Sophie Boyer Chammard (IAAF) et Patrick Giry-Deloison (FITT France), ce dernier a cité l’étude du GIIN (Global Impact Investing Network) : « Si l’impact investing représente à ce jour déjà  502 milliards $, chiffre tout-à-fait significatif, cela ne représente néanmoins que moins de 1% des actifs sous mandat dans le monde ».


Les trois défis de l’investissement à impact : évaluation, standardisation, passage à l’échelle

Le Prof. Hans H. Wahl a ouvert les débats en rappelant qu’il existe quatre types d’investissements :

    • L’investissement traditionnel,
    • L’investissement responsable, économique, social et environnemental
    • L’investissement basé sur des valeurs
    • L’impact investing, ou investissement dans des entreprises à impact positif

 

Selon lui, l’investissement dans une entreprise à impact positif soulève trois questions :

    • L’évaluation de l’investissement: Nous sommes performants dans la mesure où nous pouvons mesurer cette performance, or il est difficile de mesurer la performance non financière ; comment évaluer les sociétés en fonction de leur bénéfice social et environnemental ?
    • La standardisation des indicateurs de performance : Comment savoir ce qu’est un « bon investissement », et avoir des unités de mesure objectives et partagées par tous, comme les normes comptables sont un instrument de mesure des performances financières ?
    • Le passage à l’échelle: comment les initiatives de certains, qui se multiplient, peuvent-elles devenir la norme pour tout le monde ? Si l’on constate une réelle prise de conscience quant au besoin de transition vers des activités à impact positif, cette transition est-elle assez rapide et généralisée ?

 

Les dix-sept objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU sont la référence commune pour tous les acteurs (gouvernements, entreprises, ONG, Fondations, citoyens, …). Le Prof. Hans H. Wahl a rappelé « (que) pour ce qui concerne l’investisseur, sa propre activité, comme celle des entreprises dans lesquelles il investit, se doit d’être pérenne et rentable, à la fois du point de vue économique comme du point de vue social, sociétal et environnemental ».

 

Comment respecter cet objectif d’impact positif pour un financeur ?

Prof. Hans H. Wahl, Clémence de Rothiacob

Clémence de Rothiacob a expliqué que Richelieu Gestion, qui investit dans les actions d’entreprises cotées, exclut les énergies fossiles et le tabac. « Nous favorisons aussi la transition en valorisant les efforts d’amélioration de l’entreprise pour améliorer son impact » a-t-elle précisé.

Christian Lim a présenté Blue Oceans Partners en disant « nous mobilisons les capitaux privés pour régénérer la santé des océans et atteindre l’ODD 14, en investissant notamment dans les innovations aidant à résoudre les problèmes de la surpêche et de la pollution par le plastique. Nous avons à la fois un un objectif d’impact systémique et de retour sur investissement de marché compétitif. Pour évaluer l’impact des innovations, nous avons mis en place une gouvernance qui comporte un comité d’impact qui a un droit de veto et est composé de spécialistes indépendants».

BNP Paribas, a indiqué Antoine Sire, est engagé dans une transformation et recherche dorénavant l’impact dans toutes leurs activités, notamment sur les sujets de transition climatique, biodiversité, montée des inégalités et rééquilibres territoriaux. D’après lui « Cela demande un modèle différent intégrant des indicateurs différents. C’est une transformation qu’aucune entreprise ne peut faire seule ». Avec pour boussole, les 17 Objectifs de Développement Durable, BNP Paribas a construit une méthodologie avec Vigeo Eiris et a engagé ses cadres dirigeants dans un programme de formations de grande ampleur.

En termes de mesure de performance, BNP Paribas s’est fixé des objectifs de transformation en fonction des ODD :

    • Les objectifs de financement des énergies renouvelables, par exemple, ont été dépassés (1erEuropéen et 3ème mondial).
    • BNP Paribas veut être une grande banque de l’économie sociale et solidaire. Elle a créé des processus de risque spécifiques, formé des spécialistes de l’ESS (l’ESS représente 10% du PIB français). Là encore les objectifs fixés ont été dépassés.
    • Une logique d’exclusion sur certains secteurs, soit immédiatement (fracturation hydraulique, schiste, énergies issues de sables bitumineux), soit en accompagnant la transition et les programmes de développement alternatifs. BNP Paribas sort progressivement des sociétés d’énergies qui développement des capacités additionnelles au charbon.

 

Néanmoins Antoine Sire rappelle « (que) ceci reste empirique : Comment créer des échelles plus larges pour s’aligner avec les objectifs de Paris ? Toute transformation (toute révolution, puisqu’on parle des défis inhabituels sur la survie de la planète et la capacité de notre monde à être tolérable) induit ses propres indicateurs ; quels sont les indicateurs que l’on va inventer pour accompagner cette transition ? ».

 

Standardisation des indicateurs de performance

Dans son exposé, le Prof. Hans H. Wahl a indiqué que des indicateurs de mesure ont été développés pour certains secteurs. Plus globalement, deux grands systèmes semblent se développer :

    • Le système européen, avec une approche plus structurée et réglementaire
    • Le système américain, comme le système présenté au ChangeNOW Summit à Paris en janvier : Global Impact Investing Network (GIIN).

 

« Il y a beaucoup d’initiatives proposant des normes/standards. La communauté des investisseurs joue un rôle important pour la prise en compte de l’impact dans les critères d’investissements. Citons l’exemple de BlackRock dont le CEO Larry Fink a déclaré: « Profits with a purpose are vital for survivability and profitability » et dont les propos annoncent une réelle tendance de marché » a-t-il précisé.

Pour Christian Lim, l’évaluation purement quantitative est difficile : « Il y a des éléments que l’on peut mesurer de façon quantitative, comme l’émission de gaz à effet de serre. Mais beaucoup d’éléments sont qualitatifs et plus difficiles à évaluer ou standardiser, comme l’impact sur la biodiversité. En plus, il faut consolider les impacts positifs et négatifs et analyser le résultat global du projet, tout au long de la chaîne de valeur ».

À ce propos, Clémence de Rothiacob fait un parallèle avec les agences notations de crédit, pour lesquels il y a des indicateurs standardisés et des agences indépendantes de notation (S&P et Moodies). « Pour l’ISR, on peut se faire aider pour la collecte des données mais l’analyse des données reste complexe. La seule base commune et précieuse est le cahier des charges défini dans les Objectifs de Développement Durable ».  Pour avoir le label ISR, il faut expliquer comment on mesure l’impact et le résultat, mais il reste un flou important pour les fonds qui n’ont pas de label. Même si l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) encadre davantage, il n’y a pas de standards aujourd’hui.

Côté critères, de plus en plus d’entreprises montrent l’impact positif qu’elles peuvent générer. Elles ont besoin de communiquer sur l’impact positif pour obtenir des financements. Ainsi Danone a publié ses 169 cibles qui prennent en compte les trois aspects du développement durable et s’articulent autour des 17 objectifs de développement durable.

Antoine Sire fait néanmoins remarquer « (qu’) il y a deux sortes d’entreprises : les entreprises « très green » dont le cœur de l’activité est à impact positif et les entreprises très « brown » (ex : charbon) ». Entre les deux il y a une multitude d’entreprises dont il faut accompagner la transition.

Parmi les initiatives de BNP PARIBAS, citons l’émission de « sustainability linked loans », dont le prêt est lié à l’atteinte par les entreprises d’un certain nombre d’ODD. Elle a ainsi prêté à Solvay, chimiste qui s’est engagé à réduire l’ensemble de ses émissions de gaz à effet de serre. A son sens, ce qu’il faut mesurer ce sont les efforts vers une transition et l’évolution. Il faut rendre traçable tout ce que l’entreprise fait, quelle que soit l’entreprise, tout comme les normes comptables IFRS rendent traçables les résultats financiers, quelle que soit l’entreprise. Il faut tout documenter et trouver un mélange de bons critères qui permettent apprécier l’impact total de l’entreprise et sa contribution aux accords de Paris. Par exemple, la méthodologie PACTA (Paris Agreement Capital Transition Assessment) permet d’évaluer l’efficacité énergétique, mais il faut aussi prendre en compte l’impact social des évolutions.

Ainsi BNP Paribas met en place de nouveaux instruments répondant à des logiques nouvelles : par exemple le « contrat à impact social » : La collectivité indemnise un sujet d’intérêt général, comme le chômage. Dans ce dispositif une association, en l’occurence l’Adie, apporte de l’aide aux chômeurs pour créer leur emploi et contribue à la baisse de l’indemnisation chômage. L’investisseur aide l’Adie à augmenter son impact et la collectivité rembourse l’investisseur si l’action de l’association est efficace. Le remboursement du prêt est indexé sur la performance sociale. Reste néanmoins la question du passage à grande échelle de ce type d’actions.

Antoine Sire est pragmatique : « Il faut créer un outil de mesure et voir si on peut généraliser ces actions. En l’espèce, on fait décoller l’avion avant d’avoir fini de le construire… ».

 

Passage à grande échelle

Selon le Prof. Hans H. Wahl, « la question du rôle du secteur public pour accélérer la transition est posée. La mise en place des Objectifs de Développement Durable par les Nations Unies est une étape importante et très utile. Une vraie dynamique est maintenant en place. Du côté des entreprises aussi ». Mais il rappelle que l’essentiel est une collaboration entre les pouvoirs publics et les entreprises. On trouve des exemples de collaboration efficace à Singapour, au Canada, en France, et en Allemagne. Des initiatives pour mesurer l’impact commencent à voir le jour et devront permettre mesure et passage à l’échelle.

L’INSEAD Social Entrepreneurship Programme (ISEP) travaille sur de nombreux projet, dont l’un qui a rassemblé un écosystème de parties prenantes (stakeholders) en impliquant une startup innovante, des académiques, une grande entreprise pour permettre le passage à l’échelle, le gouvernement pour donner un cadre de réglementation, et des consommateurs. L’ISEP organise aussi le « Tommy Hilfiger Social Innovation Challenge »  qui a pour objectif de rechercher des améliorations environnementales dans la chaine de valeur, mais aussi des améliorations sociales, comme par exemple, sur les vies des individus producteurs tout en bas de la chaine de valeur mais « le projet doit aussi apporter des revenus financiers pour être viable ».

Christian Lim, Antoine Sire

Pour Christian Lim, les fondamentaux sont là pour que la plateforme d’investissement de Blue Oceans Partners se développe à grande échelle. Ceux-ci incluent entre autres une abondance de « pipeline » de qualité et une demande massive des grandes entreprises pour les innovations que les start-ups apportent.

Le défi pour Christian Lim est celui auquel font face les « first time funds ». Le système financier veut presque exclusivementdes stratégies d’investissement déjà démontrées avant d’investir, or nous avons besoin de nouvelles stratégies pour répondre aux nouveaux défis de notre monde, et naturellement elles n’ont pas le « track record » exigé. Selon lui, nous n’avons pas le temps d’attendre que les standards se mettent en place pour réaliser la transition écologique. Ce changement rapide implique qu’on travaille dans l’innovation, avec de nouvelles stratégies à mettre en place immédiatement. « Les parcours pour les nouveaux fonds devraient être plus faciles ! ».

« L’objectif du fonds Richelieu CityZen est de donner accès au plus grand nombre à des produits à impact. Comme les FCPR, ces produits restent plus risqués car ce sont des placements à plus long terme, qui s’adressent donc à des investisseurs avertis » a indiqué Clémence de Rothiacob. Selon elle l’impact investing reste confidentiel et prendra du temps à se généraliser, mais a vocation à se démocratiser. La révolution a commencé et vient des investisseurs qui sont en demande. Les entreprises se mettent au pas. L’enjeu est une meilleure valorisation en bourse de l’entreprise à impact, qui nécessite de lui donner les moyens de développer l’entreprise et l’impact. Les sociétés de private equity ont un rôle à jouer, et montreront l’exemple aux société cotées. Chaque échelon est important pour développer cet effet d’échelle.

Antoine Sire donne trois exemples de sujets où il faut changer de logiciel pour passer à l’échelle :

    • Penser à l’épargne: Les épargnants sont aussi en demande que leur épargne soit investie dans des projets à impact. La Banque Privée de BNP Paribas propose une offre « MyImpact » pour l’investisseur responsable. Elle interroge l’épargnant sur le type d’impact qu’il souhaite avoir en fonction des ODD. L’impact devient un élément de choix fondamental de l’investissement (no risk no return – il faut pouvoir choisir le niveau de risque et d’impact). Le choix doit reposer sur des impacts réels avec une grille de critères.
    • Développer la coopération entre les acteurs privés, publics, et les ONG et les autres parties prenantes. C’est ce qu’on appelle le financement mixte ou « blended finance», pour financer un problème de bien public. Toutes les parties se mettent autour de la table. Par exemple le « tropical landscape facility » accordé par BNP Paribas, pour financer une plantation de caoutchouc durable destiné aux pneus Michelin, avec WWF et le gouvernement indonésien.

 

Prendre le problème par tous les angles. BNP Paribas a lancé ClimateSeed, une plateforme de compensation carbone, proposant une méthodologie pour aider les compagnies aériennes à réduire de 5% leur utilisation de kérosène. Le projet est sans but lucratif et avec l’appui du lauréat du Prix Nobel de la Paix, le Professeur Muhammad Yunus.

 

Des objectifs d’impact ambitieux mais une réelle dynamique des acteurs économiques engagés

Dans sa conclusion, le Prof. Hans. Wahl a rappelé que nous assistons à un changement profond de la pensée à court terme vers le long terme, tant dans la stratégie commerciale et les opérations que chez les investisseurs qui les financent. Cela a été mené et est particulièrement visible dans le comportement des fonds de pension et des particuliers fortunés et des « family offices » et se déplace progressivement vers les grandes banques et les sociétés d’investissement.

L’apprentissage est un élément clé de la transition d’impact dont nous avons discuté ici aujourd’hui. Cela est vrai pour les innovateurs et les entrepreneurs qui ont besoin d’un grand soutien pour rendre les solutions qu’ils génèrent investissables et leurs start-ups investissables. Cependant, cela est également vrai pour les investisseurs et les grandes entreprises qui ont un besoin urgent de créer de nouvelles approches en matière d’évaluation et de risque qui dépassent la perspective étroite de maximiser le rendement financier.

Enfin, bien que nous accordions une grande attention aux grands marchés d’Amérique du Nord, d’Europe et de Chine, nous ne devons pas négliger certains des changements profonds qui se produisent dans certains des marchés émergents à croissance rapide d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine. Cela inclut

    • L’obligation dans plusieurs grands pays d’Asie d’allouer un pourcentage des revenus des entreprises à l’impact social;
    • L’interdiction des emballages en plastique dans de nombreux pays d’Afrique (et bientôt, interdiction de tous les plastiques à usage unique au Kenya);
    • La fourniture de soins de santé et de logements sûrs dans de nombreux pays d’Amérique latine et d’Afrique.

 

Le Prof. Hans H. Wahl a terminé en disant « Bien que ceux-ci aient pu être considérés comme ambitieux il y a une décennie ou deux, ce sont maintenant des efforts très significatifs qui sont réalisés afin que les entreprises soient vraiment une force pour le bien ».


Christian Lim, Antoine Sire, Prof. Hans H. Wahl, Clémence de Rothiacob, Patrick Giry-Deloison

DSBrowser rejoint FITT France !

Nous nous réjouissons que DSBrowser fasse dorénavant partie du Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation et contribue ainsi au développement de la communauté des manageurs de la transformation.

 

DSBrowser est une start-up française qui développe et commercialise une suite de services intégrés dans le cloud. Ses solutions propriétaires sont dédiées à la cybersécurité, la gestion de workflow, l’authentification de documents et l’infogérance. Le tout dans une « bulle de sécurisation » native.

DSBrowser conçoit et développe ses services avec l’objectif de concilier sécurité et simplicité, au service de l’entreprise étendue. Les grands comptes et entreprises structurées sont sa cible privilégiée. Les solutions DSBrowser visent tous les secteurs d’activité. La société détient une expertise particulière dans la digitalisation des opérations de commerce international.

DSBrowser permet à ses clients de sécuriser, gérer et contrôler les processus métiers. Il s’ensuit des gains de temps et de performance, tout en réduisant significativement les risques cyber.

État des lieux de l’investissement à impact

Neuf publications recommandées par le Prof. Hans H. Wahl, Director of the INSEAD Social Entrepreneurship Initiative.

En anticipation de notre Rencontre annuelle du 25 février 2020 consacrée à l’Impact (cliquer ici pour connaître le programme), nous avons demandé à l’un de nos intervenants, le Prof. Hans H. Wahl, de nous indiquer quelques une de ses publications préférées sur ce sujet. Voici son TOP 9.


Impact Investing Comes of its own

Claudia Zeisberger, INSEAD Senior Affiliate Professor of Decision Sciences and Family Enterprise

A discussion with Kevin Lu, Chairman for Asia at Partners Group and Distinguished Fellow at INSEAD’s Global Private Equity Initiative (GPEI).

 

 

 

 


Investing for a better world

The Global Steering Group for Impact Investment

Strengthening the financial services value chain to meet the sustainable development goals.

Part I: Diagnosis.

 

 

 

 

 

 

 


Annual Impact Investor Survey – 2019

The Global Impact Investing Network

A report presenting 266 respondents’ impact investing activities and perspectives on industry development.

 

 

 

 

 

 


Building Impact Investment Wholesalers

Key Questions in Design of an Impact Investment Wholesaler

The GSG has commissioned five separate and complementary papers which address key questions and challenges within the impact investment ecosystem. The topics have been chosen by the leaders of the GSG, the National Advisory Board Chairs, the GSG trustees and the GSG partners.

In this paper, we discuss impact investment wholesalers, how they work, what they’ve accomplished and how their design choices shape their influence.

 

 


When can Impact Investing Create Real Impact?

Paul Brest & Kelly Born

With responses from Audrey Choi, Sterling K. Speirn, Alvaro Rodriguez Arregui & Michael Chu, Nancy E. Pfund, and Nick O’Donohoe

Paul Brest is emeritus professor at Stanford Law School, a lecturer at the Graduate School of Business, and a faculty co-director of the Stan- ford Center on Philanthropy and Civil Society.

Kelly Born is a fellow in charge of special projects at the William and Flora Hewlett Foundation.

 

 

 


What are the Principles of Responsible Investment?

PRI, the world’s leading proponent of responsible investment.

The six Principles for Responsible Investment are a voluntary and aspirational set of investment principles that offer a menu of possible actions for incorporating ESG issues into investment practice.

The Principles for Responsible Investment were developed by an international group of institutional investors reflecting the increasing relevance of environmental, social and corporate governance issues to investment practices. The process was convened by the United Nations Secretary-General.

 


Big Society Capital

The World’s First Social Investment Wholesale Bank – Jess Daggers & Alex Nicholls

Big Society Capital (BSC) is a financial institution set up for the purpose of building the market for social investment in the UK. BSC defines social investment as ‘the use of repayable finance to achieve a social as well as a financial return’. Its ultimate aim is to help ‘capitalise’ and support third sector organisations, described by them as ‘social sector organisations’ (SSOs).

BSC does this, primarily, by developing and promoting the social investment marketplace in the United Kingdom.

 


The Stars are Aligning for Socially Responsible Investing

Ian Potter – INSEAD Distinguished Fellow with INSEAD’s Global Private Equity Initiative (GPEI).

Calls for a more inclusive style of capitalism are boosting a budding industry.

 

 

 

 


The State of Impact Measurement and Management Practice

The Global Impact Investing Network

We see impact performance becoming a powerful differentiator and a meaningful new dimension of overall performance for all types of investing.

 

 

 

 

 


 

Business à Impact – Comment le Financer ?

Rares sont ceux en 2020 qui contestent la nécessité de penser un développement économique durable.  Cependant la question du financement de ces objectifs reste posée.  Pour sa sixième Rencontre annuelle consacré à l’Impact, FITT France s’associe à l’INSEAD Alumni Association France et ouvre le débat du financement du business à impact.

 

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Initié et porté par des ONG, des fondations dont la Rockefeller Foundation et des institutions internationales telles que les Nations Unies pour inciter les décideurs à prendre en compte les externalités négatives et positives sur le plan humain et écologique des activités des entreprises, le « Business with Impact » constitue aujourd’hui un facteur majeur de disruption de l’ordre économique mondial.

Si peu de responsables doutent encore de la nécessité de payer décemment les collaborateurs, de leur fournir un environnement de travail fonctionnel et confortable ; de leur permettre d’acquérir de nouveaux savoirs, de réduire la pollution de la terre, de l’air et de l’eau, de protéger les forêts et espaces naturels, de préserver les ressources non-renouvelables… qu’en est-il du financement ?

Comment trouver l’argent pour financer la recherche et le développement de nouvelles solutions à impact ? Quels modèles économiques mettre en œuvre pour pérenniser ces initiatives ? Comment allier efficacement « good business » et « business for good » ? Comment optimiser la répartition des actions tout au long de la chaîne de valeur ? Qui sont les agents économiques qui vont faire la différence ? Quel poids peuvent jouer les fonds d’investissement à impact ?

Le 25 février 2020, l’INSEAD Alumni Association France et le FITT France organisent conjointement une Rencontre pour y répondre en partageant retours d’expérience, expertises et savoir-faire d’acteurs engagés dans le financement du « Business à Impact ».

Avec la participation de :

 

La Rencontre sera co-animée par Sophie Boyer Chammard (INSEAD Alumni Association France) et Patrick Giry-Deloison (Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation).

FITT France est membre associé du Global Impact Sourcing Coalition, une coalition d’entreprises leader pour le développement de supply chain globales inclusives.


La Rencontre commencera par un accueil à partir de 8h00, les débats débuteront à 8h15 pour se clore à 10h45.

La Rencontre se tiendra chez Banque Richelieu, 1-3-5 rue Paul Cézanne, 75008 Paris.

>>>> Cliquez ici pour vous inscrire à la Rencontre <<<<

Rappel : la participation aux Rencontres FITT France est gratuite pour les collaborateurs des entreprises adhérentes de l’association. Vous ne savez pas si votre entreprise a adhéré à FITT France ? Contactez-nous et nous vous répondrons !

🔥Cliquer ici pour adhérer et bénéficier des avantages réservés aux membres



Avec la participation de

Christian Lim – apnéiste et co-fondateur de Blue Oceans PartnersBlue Oceans Partners est une plateforme d’investissement qui a pour mission de mobiliser les capitaux privés pour régénérer la santé de l’océan et atteindre l’ODD14. Blue Oceans Partners a lancé Ocean One, un fonds de capital-risque qui finance les sociétés innovantes apportant des solutions à la surpêche et la pollution plastique. Ocean One vise à réaliser à la fois un impact systémique et des retours sur investissement de marché compétitifs. 

Avant de créer Blue Oceans Partners, Christian a été directeur d’investissement à AfricInvest, un gestionnaire de fonds de capital risque pan-Africain avec 1.4 milliards d’euros sous gestion. Il a aussi mis en place des stratégies de développement du secteur privé à la Banque Africaine de Développement, a été manager de business unit à Veolia Water, et dirigé une mission d’urgence de la Croix Rouge en Indonésie suite au Tsunami de 2004. Christian est diplômé de Mines ParisTech et d’INSEAD et est pianiste dans son quartet de jazz.

 

Clémence de Rothiacob – gérant de fonds chez Richelieu Finance. Elle est diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Toulouse et du Master Finance de l’Université Panthéon-Assas Paris II. Elle a débuté sa carrière en tant que Chargée d’affaires en fusions-acquisitions chez Close Brothers, banque d’affaires spécialiste des PME-ETI européennes. Elle intègre, en 2005, Richelieu Finance en tant qu’analyste actions européennes avant de devenir, en 2008, gérante de fonds actions internationales et actions exposées aux matières premières.

Aujourd’hui, Clémence gère, depuis sa création début 2014, le fonds Richelieu Family Small Cap, investi dans des PME européennes à l’actionnariat principalement familial. Elle gère également Richelieu CityZen (remodelé fin 2019), premier fonds thématique de la gamme Richelieu intégrant une analyse extra-financière (approche « best in universe » pour la sélection des sociétés les plus vertueuses selon des critères ESG). Richelieu CityZen investit dans des entreprises européennes impactant positivement le quotidien en répondant aux grands défis mondiaux.     

 

Antoine Sire – Responsable de l’Engagement d’entreprise et membre du Comité Exécutif du Groupe BNP Paribas. He was Assistant to the Director for Communications and Regional Action of the French Association of Banks – now FBF – from 1992 to 1995, then Communications Director of the Confédération Nationale du Crédit Mutuel (1995-1997). For 16 years, he was Head of Group Communications for BNP Paribas, where he created the company’s new brand following the merger of BNP and Paribas, and developed its strong reputation.  He also played a key role in developing the brand’s international recognition and broadened its social commitments.

For 13 years, he co-hosted BFM Business’s radio programme dedicated to new technologies called Atelier Numérique. In 2013, he left BNP Paribas to focus on a long-term personal project, writing a historical book on Hollywood’s Golden Age actresses, published in 2016. In parallel, and since 2015, he has been Partner at Havas’s Paris agency. Antoine Sire graduated from IEP (Institut d’Etudes politiques) Paris and holds a degree in Public Law.

 

Prof. Hans H. Wahl – director of INSEAD’s Social Impact Executive Education ProgrammeHans H. Wahl joined INSEAD in 2007.  He is an educator, trainer, and human rights activist, based in Paris. He has more than 35 years of experience in education, management, and economic and political development in over 40 countries.   Specifically, his work focuses on educational design, programme development, and collaborative social impact ecosystems. 

He is also a member of The Value Web, which facilitates complex, multi-stakeholder discussions to advance social change and is a founding director of the Governance and Justice Group, a multi-disciplinary group that carries out research and advises on issues of access to justice, rule of law and human rights. He established UNESCO’s Poverty and Human Rights Programme and held senior positions at Amnesty International, Penal Reform International, and numerous community development organizations.  Mr. Wahl has launched several social ventures including a sustainable tourism organisation in the high Caucuses of Georgia.  He has studied, written and consults on issues of civil society development, human rights, and capacity building worldwide. He is Austrian-American and holds a Master of International Affairs from Columbia University.


Nous remercions Banque Richelieu France pour son accueil


FITT France est partenaire du ChangeNOW summit

CELEBRATING IMPACT LEADERS

The world is facing critical challenges. But nothing we can’t overcome!
All around the globe, inspiring individuals are inventing new solutions, rethinking the way we do business, challenging the status quo. Still, they are too often marginalized, unknown, and struggle to find the support they need to really make a difference.

ChangeNOW celebrates and supports those changemakers.

It is the annual reunion for all enthusiasts who want to shake and shape the world we live in.

To make change real. Now.


FITT France, partenaire de ChangeNOW summit, au Grand Palais, les 30-31 janvier et 1er février 2020, vous invite à découvrir 1000 innovations et entreprises qui changent le monde ! Et rencontrez investisseurs, partenaires, élus, journalistes, talents, pour accélérer vos projets !

 

Les collaborateurs des entreprises adhérentes à FITT France en 2020 bénéficient de -30% sur les pass individuels : startups, executives, investors, non profits et billets adultes grand public.

Des Femmes et des Hommes au Coeur de la Transformation

Plongée dans un monde en mutation accélérée où les recettes du succès d’hier ne sont plus efficaces aujourd’hui et encore moins demain, l’entreprise doit concevoir et implémenter de nouvelles façons de fonctionner : plus agiles, plus ouvertes, plus audacieuses, plus efficientes.

>>>> Cliquez ici pour vous inscrire à la Rencontre <<<<

Force est de constater que, même à l’ère du numérique, la pérennité de l’entreprise reste fondamentalement liée aux femmes et aux hommes qui la constituent. Aussi, face aux risques de disruption, quels modes de fonctionnement adopter pour favoriser la création de valeur ? Où aller chercher ce « plus » humain qui fera la différence ? Comment transformer l’entreprise sans la déformer ? Comment insuffler l’esprit entrepreneurial des start-ups dans une entreprise mature ? Comment donner à chacun sa juste place ?

Parmi les réponses collectées par FITT France ces derniers mois, deux nous semblent particulièrement pertinentes et cohérentes car elles partagent le même objectif : dynamiser l’entreprise de manière pérenne.

Elles l’abordent toutefois sous des angles complémentaires qui tous deux font de la diversité un levier de performance :

  • L’une adresse la difficulté qu’ont les entreprises matures à offrir un espace de liberté à leurs collaborateurs pour appréhender et adopter un mode de fonctionnement « start-up » adapté à leur contexte opérationnel au travers d’un programme « d’immersion ».
  • L’autre donne aux instances de gouvernance de nouveaux moyens humains, en rendant leur juste place aux femmes, pour anticiper la disruption, aborder les sujets stratégiques avec des pratiques différentes.

 

La Rencontre se propose de partager ces points de vue, d’échanger des retours d’expérience du terrain et de définir avec les participants des pistes de réflexion et d’action pour la création de valeur pérenne en plaçant les femmes et des hommes au cœur de la transformation de l’entreprise.

>>>> Cliquez ici pour vous inscrire à la Rencontre <<<<


Tony Bocock, président de FITT France, clôturera la Rencontre par un compte-rendu des activités de l’association en 2019 et l’annonce du programme des Rencontres et Ateliers 2020.


Avec la participation de

Lucille Desjonquères – Co-fondatrice du cabinet d’approche directe Leyders Associates et Présidente de l’International Women’s Forum France : « Agir pour la reconnaissance des femmes est un engagement quotidien. Je suis chasseuse de tête depuis 2001, et pour faire entrer mon cabinet Leyders associates dans l’ère du changement et de la progression sociale, nous avons créé en sus de nos activités d’approches directes, un pôle dédié à la féminisation des instances de gouvernance, à la formation d’administrateur(trice), et à l’évaluation des CA avec des outils innovants.Ce pôle dédié à la gouvernance au féminin facilite le recrutement pour les dirigeants soumis à la loi Copé-Zimmermann effective depuis 2017, et les aide à respecter leurs obligations en matière de mixité. Nous avons également souhaité devenir les « agents » de femmes d’affaires encore trop méconnues.

A titre bénévole, je suis présidente France du réseau international IWF (International Women Forum) réunissant 7000 femmes influentes sur les six continents. Je suis ainsi connectée à des personnalités extraordinaires dont l’audace et la bienveillance sont le dénominateur commun.
La parité ne devrait plus faire débat. Elle reste un combat à l’échelle mondiale. Aujourd’hui 12% de femmes présentes dans les Comex en France influencent le pouvoir décisionnaire des entreprises. Seules 4% d’entre elles sont à des fonctions « finance » ou « business développement ».
Malgré une prise de conscience accrue et les quotas en place, les chiffres n’augmentent pas suffisamment. Il est pourtant reconnu que les entreprises avec des femmes au sein de leur conseil d’administration ont des niveaux de croissance plus élevés que celles dotées exclusivement de présence masculine.

Pour gagner la bataille de la mixité, nous avons besoin des hommes, et les plus impliqués d’entre eux sont une source d’inspiration pour tous les autres. Le dalaï-lama dit que le jour où les femmes seront au pouvoir, il n’y aura plus de guerre. Je pense en effet que lorsque les femmes seront à leur juste place, la société sera meilleure. « 

Jérôme Gonon – co-fondateur et CEO de Mobiliwork. Jérôme a débuté sa carrière au sein du cabinet d’audit Orial. En 2000, il rejoint le département fusions & acquisitions de la Société Générale qu’il quitte en 2009 pour devenir Directeur au sein de Détroyat Associés, un des leaders de l’évaluation et du conseil stratégique et financier indépendant. En parallèle, Jérôme travaille sur différents projets de création d’entreprise.

Après ce parcours financier d’une quinzaine d’années, Jérôme se lance pleinement dans l’aventure entrepreneuriale. Il démissionne et crée Mobiliwork, une start-up de la HR Tech qui aide les grandes entreprises à se transformer en agissant sur le « mindset » de leurs salariés. Mobiliwork propose des immersions en start-up qui sortent les collaborateurs de leur zone de confort et développent certaines compétences comportementales, notamment l’agilité et l’audace.

Mathilde Le Coz – Directrice des Talents et de la Transformation RH de Mazars. Diplômée de NEOMA Rouen en 2004, et après plusieurs années en tant qu’auditrice au sein du cabinet Mazars, Mathilde Le Coz évolue vers les fonctions Ressources Humaines afin de prendre en charge le développement RH des équipes Consulting de MAZARS France.

Par la suite, Mathilde devient Directrice de l’Innovation RH et accompagne l’impact de l’arrivée des nouvelles générations et de la transformation digitale sur l’organisation.

Elle accompagne l’ensemble des mutations humaines et opérationnelles en lien étroit avec les experts métiers afin de les rendre acteurs de cette transformation. Depuis septembre 2018, elle pilote l’ensemble de la stratégie RH en tant que Directrice du recrutement, du développement des talents, de l’innovation RH et de la marque employeur.

Delphine Le Guerinel – dirigeante de Spirallianceaccompagne ses clients dans l’analyse des facteurs de risques et tout au long de la phase de conduite du changement des projets de transformation des organisations et des métiers.

Elle a construit son expérience de manager puis de dirigeant RH notamment au sein d’Accenture, de Veolia Environnement, de Paris Aéroports (ADP) et durant 2 années en tant qu’administrateur au sein du Conseil d’Administration de la société Hub One.

Diplômée du Master « Trajectoires Dirigeants » de Sciences Po et certifiée TMA (Talent Management Analysis), elle s’est spécialisée dans les enjeux liés à la transformation des métiers et des compétences et à leur meilleure adéquation avec les enjeux stratégiques business, pour le bénéfice mutuel des entreprises et des  collaborateurs.

Co-auteur de “Ralentissez – Choisir la lenteur et réapprendre à vivre” (Dunod) et de “Le travail à l’heure du multi emploi” (Editions Universitaires Européennes), elle témoigne sur la base de son expérience des bénéfices et risques des projets de transformation s’appuyant sur les technologies numériques.

 


 

La Rencontre commencera à 18h30 et se clôturera par un cocktail. Elle aura lieu chez Leyders Associates au 53, avenue Montaigne – 75008 Paris.

>>>> Cliquez ici pour vous inscrire à la Rencontre <<<<

Rappel : la participation aux Rencontres FITT France est gratuite pour les collaborateurs des entreprises adhérentes de l’association. Vous ne savez pas si votre entreprise a adhéré à FITT France ? Contactez-nous et nous vous répondrons !


 

11/10/2019 : Start-ups et grandes entreprises – Comment collaborer ?

Pour la seconde année consécutive, FITT France vous invite à explorer les relations complexes entre start-ups et grandes entreprises.

Cette Rencontre donnera la parole à des binômes « grande entreprise + start-up » qui partageront leur retour d’expérience de la mise en place d’une relation « business » pérenne : les conditions du succès, les bénéfices matériels et immatériels à attendre, les écueils qu’il faut anticiper et gérer, les adaptations des processus habituels de sourcing, les différences d’intention et d’objectifs des différentes parties, les enjeux opérationnels et stratégiques de la démarche, etc.

NB : les « grandes entreprises » dont nous parlons sont des « entreprises qui ont grandi », à la différence des start-ups qui en sont encore au début de leur histoire. La Rencontre réunira donc des start-ups, des PME, des ETI et des entreprises du SBF120.

Ces dialogues comporteront un large temps d’échange avec les participants.

Programme

 

Participants

La Rencontre s’adresse aux femmes et hommes « manageurs de la transformation » qui sont

    • Décideurs au sein de « grandes » entreprises, issus de toutes les fonctions et opérant dans tous les secteurs d’activités privés et publics
    • Créateurs et dirigeants de start-ups
    • Acteurs de l’écosystème de l’innovation : investisseurs, agences publiques, collectivités, universités et grandes écoles, incubateurs et accélérateurs, …

 

Informations pratiques

La Rencontre commencera à 8h30 précises, avec un accueil à partir de 8h00, et se terminera à 12h30.

Elle aura lieu dans l’espace de co-working Wojo au 88, avenue Charles De Gaulle à Neuilly-sur-Seine (métro Sablons, ligne n° 1).

Nous vous tiendrons informés du programme. Pour ce faire, nous vous invitons à vous inscrire à notre Newsletter (à droite de l’écran) si ce n’est déjà fait.

>> Cliquez ici pour vous inscrire (obligatoire) <<

 





Rappel : la participation aux Rencontres FITT France est gratuite pour les membres individuels et collaborateurs des entreprises adhérentes de l’association.

La mètis rejoint FITT France !

Nous nous réjouissons que La mètis fasse dorénavant partie du Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation et contribue ainsi au développement de la communauté des manageurs de la #transformation.

La mètis est une start-up qui développe Kaïros, une plateforme digitale d’investigation du web en temps réel, sans biais commerciaux et respectant le sens de la question posée par l’utilisateur.

En effet, Kaïros pilote des robots reproduisant fidèlement le comportement humain de navigation sur le web. Il embarque des algorithmes d’intelligence du langage qui enrichissent la formulation de la question (synonymes, hyperonymes, hyponymes) et retiennent uniquement les paragraphes pertinents.

Kaïros améliore significativement la pertinence et le volume des résultats web mis à disposition des utilisateurs, en comparaison des moteurs de recherche, des logiciels de veille et des agrégateurs de contenus web.

Kaïros s’adresse à tout professionnel (direction générale, direction stratégique M&A, direction marketing, DSI, pouvoirs publics et médias…) qui se pose une question nouvelle. A titre d’exemples, voici quelques questions auxquelles nous avons répondu avec Kaïros :

  • Quels sont les modèles de la banque du futur ?
  • Qui sont les acteurs de la recharge électrique en Europe ?
  • Quelles données web pour concevoir une alerte avancée de défaillance d’une PME ?
  • Comment organiser la direction « innovation »d’un grand groupe ?

De la Charte au Label “Relations Fournisseurs et Achats Responsables”

Hugues Poissonnier – professeur à Grenoble Ecole de Management, directeur de l’IRIMA et membre du Comité Stratégique de FITT France – publie l’ouvrage collectif « De la Charte au Label « Relations Fournisseurs et Achats Responsables » : une démarche de progrès créatrice de valeur ».

 

FITT France recommande vivement la lecture de ce livre blanc qui s’inscrit en cohérence avec les initiatives prises depuis cinq ans par notre association pour promouvoir l’Impact Sourcing auprès des décideurs tant du secteur privé que du secteur public. Cliquer ici pour le télécharger gratuitement.

L’ouvrage met en lumière les ambitions, les difficultés et les bonnes pratiques qui jalonnent le parcours de l’excellence achat. Cet ouvrage a pour objectif de partager ces expériences : les témoignages, les questions essentielles et beaucoup de conseils, dans l’intérêt des entreprises et des organisations concernées et plus globalement dans l’intérêt de l’économie française. En effet, les chefs d’entreprises, directeurs achats, administrations et collectivités territoriales peuvent le consulter, le partager le plus largement possible et s’en inspirer pour s’engager dans la démarche de labellisation qui permet, d’une part, la transformation des pratiques et, d’autre part, la construction d’un écosystème des achats performants et durables.

 

Le Prof. Poissonnier a déclaré « Dans un contexte de redéfinition des missions des organisations et de la contribution des achats à la RSE, le label « Relations Fournisseurs et Achats Responsables » invite à une démarche de progrès cohérente avec la stratégie des organisations et à la recherche d’une performance élargie. Loin de constituer une source de contraintes supplémentaires, il invite à la mise en œuvre d’une démarche pro-active, génératrice de différenciation et de potentiels avantages concurrentiels. Les retours enthousiastes des premiers labellisés sur l’expérience vécue et les résultats obtenus, intégrant de réelles bonnes surprises, nous a incité à encourager les organisations de toutes tailles et de tous secteurs à engager une démarche dont sont présentés les conditions de succès dans le livre blanc. »

Plusieurs personnalités se sont exprimée lors du lancement du livre blanc :

Pierre Pelouzet, médiateur des entreprises, a affirmé : « Je suis très heureux que Monsieur Hugues Poissonnier, enseignant-chercheur à Grenoble Ecole de Management et expert reconnu des relations inter-organisationnelles, ait élaboré ce livre blanc qui met en lumière les retours d’expériences des entreprises engagées dans « le parcours de la Charte au Label Relations fournisseurs et achats responsables ». Cette démarche, que nous portons avec le Conseil National des Achats depuis bientôt 10 ans, a pour vocation de faire évoluer positivement et durablement les comportements d’achats, dans le souci de rééquilibrer les relations clients fournisseurs. »

 

Sylvain Guyoton, Senior Vice-President research EcoVadis, a expliqué : « La création d’un écosystème de confiance acheteurs-fournisseurs est la raison d’être d’EcoVadis. Nous n’avons donc pas hésité à accompagner Hugues Poissonnier dans cette démarche pour mettre en avant la ‘voix du fournisseur’. Pas de bonnes pratiques achats responsables sans des relations équilibrées et un travail en bonne intelligence entre fournisseurs et clients acheteurs. Nous prenons bien évidemment en compte la signature de la charte et/ou l’obtention du label dans nos évaluations du thème achats responsables. Ainsi, nous avons remarqué que le score EcoVadis « Achats Responsables » des entreprises labélisées RFAR est en moyenne supérieur de presque 20 points à la moyenne des grandes entreprises françaises non labélisées. »

 

Selon Patrice Celerier, responsable organisation et performance Achats – Schmidt groupe : « Le label doit devenir un argument supplémentaire pour le consommateur. L’objectif est d’en faire un avantage concurrentiel et un levier pour le commerce. Si c’est le cas, le retour sur investissement par rapport à la démarche de labellisation est tout trouvé ! C’est également un atout pour attirer les candidats potentiels qui seraient plus enclins à rejoindre une entreprise innovante et fortement impliquée dans une démarche RSE.»

 

Pour Stéphane Petit, Commissaire des Armées, Chef du Pôle qualité, PME et innovation, Mission des achats du Ministère des Armées : « Avec 19 milliards d’euros d’achats par an dont 4,5 milliards hors équipements d’armement, le ministère des armées est le premier acheteur de l’Etat. Le Label « relations fournisseurs et achats responsables » conquis en 2014 et renouvelé en 2017 est à la fois une reconnaissance et un engagement. La reconnaissance des efforts entrepris par un ministère régalien dans une démarche « d’administration exemplaire » qui s’est doté de longue date, et entre autre, d’une politique de développement durable et d’un médiateur au profit des entreprises. C’est aussi l’engagement de toute une administration à faire progresser ses pratiques de manière volontariste. »

 

À propos de Grenoble Ecole de Management :

Business School reconnue sur la scène internationale et nationale, Grenoble Ecole de Management (GEM) est un laboratoire à ciel ouvert dans lequel 8000 étudiants et 500 collaborateurs apprennent et œuvrent chaque jour pour résoudre des problèmes complexes et répondre aux défis de l’Entreprise et de la Société. Historiquement basée à Grenoble, ville de sciences et de technologies, l’école a développé une solide expertise en Management de la Technologie, de l’Innovation. Cette orientation fondatrice lui a permis d’élargir ses champs d’expertise en recherche et en formation autour du digital, de la santé, de l’énergie, de l’entrepreneuriat, de l’économie du partage et de la géopolitique. Créatrice de son propre modèle pédagogique, GEM est un espace d’expérimentations, de réflexion, d’hybridation qui déploie une offre de 50 programmes de formation initiale et continue, en français et en anglais, dispensés à Grenoble, Paris, Berlin, Singapour, Moscou et Casablanca. Etablissement d’Enseignement Supérieur Consulaire (EESC) affilié à la CCI de Grenoble, GEM est membre fondateur du campus d’innovation grenoblois GIANT et associée de la ComUE Université Grenoble Alpes. GEM est accréditée par les 3 organismes majeurs AACSB, EQUIS et AMBA et régulièrement classée pour la qualité de ses formations par les plus grands journaux économiques internationaux.

 

Contact presse Grenoble Ecole de Management :

Laurence Dussert – laurence.dussert@grenoble-em.com – 04 76 70 64 44

 

À propos du Médiateur des entreprises

Le Médiateur des entreprises, placé auprès du ministre de l’Economie et des Finances, vient en aide aux entreprises et aux organisations publiques afin de résoudre gratuitement leurs éventuels litiges via la médiation et, plus largement, faire évoluer les comportements d’achats, dans le souci de rééquilibrer les relations clients fournisseurs, au service de l’économie. Il intervient également dans le domaine de l’innovation. Son réseau est présent dans toutes les régions. La saisine s’effectue depuis le site www.mediateur-des-entreprises.fr

 

Contacts presse Médiateur des entreprises :

Steve Le Mentec – Paulina Ciucka-Laurent

01 53 17 87 83 – 01 53 17 87 97

steve.le-mentec@finances.gouv.frpaulina.ciucka-laurent@finances.gouv.fr

 

À propos d’EcoVadis

EcoVadis opère une plateforme mondiale d’évaluation et de mutualisation des performances RSE utilisée par plus de 55 000 entreprises de toutes tailles dans 150 pays. EcoVadis combine un système d’information et un réseau d’experts pour mettre à disposition de ses clients acheteurs et fournisseurs des notations simples, fiables et comparables couvrant 198 catégories d’achat et 21 indicateurs (des « émissions de CO2 » au « travail des enfants »). 70% des entreprises du CAC40 et plus de 300 grands groupes internationaux utilisent la solution EcoVadis pour cartographier les risques, couvrir les exigences de prévention anti-corruption et de devoir de vigilance et encourager l’innovation sur toute la chaîne de valeur incluant Axa, Auchan, Alstom, Heineken, L’Oréal, LVMH, Nestlé, Orange, Pernod-Ricard, Renault-Nissan, Sanofi et Schneider Electric. www.ecovadis.com/fr

 

Contacts presse EcoVadis :

Agence Raoul
Sibylle de Villeneuve – sibylle@agenceraoul.com – +33 (0)6 45 29 58 57

Béatrix Prades – beatrix@agenceraoul.com – + 33 (0)6 69 42 48 30