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13/12/2018 : L’humain dans la transformation digitale

La transformation digitale n’est pas simplement la mise en oeuvre de technologies telles que la robotisation ou l’intelligence artificielle… ce serait trop facile. Nous savons tous que la cause #1 d’échec des transformations n’est pas la technologie. Elle est à la fois plus simple et plus compliquée : sans les femmes et les hommes qui constituent l’entreprise et son écosystème, il ne peut y avoir de projet de transformation réussi.

 

Il est certain qu’un nombre important de compétences, de postes, vont être bousculés dans un avenir proche. Mais nous n’avons pas de certitude quant à la nature exacte de cette transformation, qui avance très vite mais qui évolue en permanence. Ce qui est sûr, c’est que le concept « learn, unlearn & re-learn » en est une composante vitale – et que les ressources humaines en sont concernées au premier plan.

 

Le 13 décembre prochain, notre Rencontre réunira des directeurs des Ressources Humaines, de la Transformation et des experts membres de FITT France qui témoigneront de leurs retours d’expérience et de leur vision de cette transformation pas comme les autres. Comme à chacune de nos Rencontre, nous proposerons des éclairages complémentaires, sans langue de bois et avec sincérité, afin que vous,  manageur de la transformation, en tiriez des leçons utiles et opérationnelles.

 

Avec la participation de…

Rémi Bollack – fondateur & président de PremiumPeers. Après avoir débuté sa carrière chez Accenture, il rejoint IBM pour créer IBM Global Business Services en France puis créé Orange Consulting. Après quelques passages dans la Silicon Valley, Il s’investit sur le développement de la On-Demand Economy et de la transformation digitale. Il fonde PremiumPeers en 2015, une plateforme collaborative de conseil et d’expertise au service de la transformation digitale constitué de « talents » indépendants, anciens consultants et cadres dirigeants.

 

Charlotte Journo-Baur – fondatrice & présidente de Wishibam. Après avoir humanisé le commerce en ligne avec wishibam.com,  elle lance aujourd’hui Wishibam for business. Cette passionnée de retail ambitionne d’accompagner les retailers dans leur stratégie digitale en unifiant leurs réseaux de distributions physique et en ligne. En réconciliant les stocks, la data et l’expérience client grâce au machine learning, l’écosystème déployé par Wishibam répond au besoin d’omnicanalité. Wishibam a notamment digitalisé The Village Outlet : le 1er outlet phygital au monde !

 

Glenda Quintini – senior economist à la Direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Glenda est plus particulièrement en charge des travaux sur les changement dans les besoins de compétences et les politiques nécessaires à y faire face. Le changement technologique joue en rôle principale dans les travaux de son équipe en tant que source de changement constant dans le nombres, la nature et le contenu des emplois disponibles – sujets sur lesquels elle a publié de nombreuses communications. Avant de rejoindre l’OCDE, Glenda a travaillé à Credit Suisse First Boston et au Centre for Economic Performance (CEP) de la London School of Economics.

 

Gilles Sabatier – Directeur du Marketing Client et de la Co-innovation / Direction Grands Comptes, Orange Business Services.  Gilles a participé au lancement du libre-service bancaire chez NCR, crée et développé son entreprise pendant 10 ans sur la vague Internet, lancé et développé Unisys Consulting, puis a dirigé le secteur Banque Assurance chez Orange Business Services.

 

 

Sébastien Van Dyk – Group Transformation Human Resources Director, AXA. Il a débuté sa carrière il y a 20 ans au sein d’Accenture, menant d’importants projets de conseil, d’impatriation et de transformation avant de passer à ManpowerGroup où il a occupé plusieurs postes et, lors des trois dernières années, assumé un double rôle. Il a dirigé le département Corporate Development and Innovation pour mener la transformation du groupe en tant que multi-spécialiste des ressources humaines et était également en charge de grands projets d’innovation ouverte, tant en interne qu’en externe. Sébastien a entre-temps fondé la division RH de ManpowerGroup Solutions France, qu’il a dirigée jusqu’à ce qu’il rejoigne AXA. Dans ce contexte, il a aidé des clients, principalement des entreprises du CAC40, dans leurs projets de transformation des ressources humaines et a développé une approche stratégique de la gestion des effectifs, de la conception à la réalisation en appuyant sur sur deux piliers principaux : la pérennité des effectifs et l’employabilité responsable.

….et de…

Bénédicte Bailleul – dirigeante de BRH-Conseil. Elle accompagne les entreprises et les cabinets dans leur transformation après avoir œuvré dans le conseil RH et la formation chez CCMC, CEGOS, Demos Outsourcing et ManpowerGroup.

 

 

Tony Bocock – président de FITT France et dirigeant de Better Buying Concepts. Professionnel des achats (Valéo, Plastic Omnium), Tony accompagne ses clients dans l’organisation de leurs fonctions achats et notamment la contribution à la transformation digitale de l’entreprise.

 

Patrick Giry-Deloison – dirigeant de SaMaTransformation et professeur de Marketing Stratégique et Business Management. Il collabore avec des directions d’entreprise pour « transformer leurs bonnes idées en bon business » et tirer bénéfice des disruptions. Il a auparavant exercé des fonctions de direction vente et marketing chez IBM, Ericsson et Alcatel/Alcatel-Lucent. Patrick est diplômé de Supélec et de l’INSEAD.

 

Delphine Le Guerinel – dirigeante de Spiralliance, accompagne ses clients dans l’organisation des activités, et l’alignement des processus et politiques RH en lien avec les enjeux de l’entreprise. Delphine a construit son expérience de manager puis de dirigeant notamment au sein d’Accenture, de Veolia Environnement et aux Aéroports de Paris. Delphine est co-auteur de « Ralentissez – Choisir la lenteur et réapprendre à vivre » (Dunod) et de « Le travail à l’heure du multi emploi » (Editions Universitaires Européennes).

 

 

 

La Rencontre commencera à 8h30, avec un accueil à partir de 8h00, et se terminera  à 10h30.

Elle aura lieu dans l’espace de co-working NEXTDOOR au 18, rue de Londres – 75009 Paris.

Pour participer à la Rencontre (inscription obligatoire) : cliquez ici

Rappel : la participation aux Rencontres FITT France est gratuite pour les membres individuels et collaborateurs des entreprises adhérentes de l’association.

FITT France à Londres pour la conférence Robotisation et Intelligence Artificielle de l’IRPA/AI

Le 12 novembre dernier, l’association IRPA/AI – dont FITT France est partenaire – organisait à Londres une conférence sur le thème « The AI enabled enterprise« . Tony Bocock, Président de FITT France, y a participé et animé l’une des tables rondes. Il nous fait part de ses impressions et des points saillants de l’événement.

 

Deux points clés à retenir

  • Le concept de « workforce management strategy » est clairement établi. Il ne s’agit plus de conduire des projets RPA, IA, isolés… l’entreprise qui réussira sa transformation y arrivera grâce à une stratégie pertinente de gestion des ressources humaines. 
    Ce point confirme l’importance de notre événement le 13 décembre prochain sur « le côté humain et la transformation « 
  • On ne parle plus de l’effet dévastateur de la RPA sur l’emploi, plutôt l’inverse avec des exemples celui d’une banque britannique publie une annonce sur la création de 2 000 emplois dans le cadre d’une réorganisation associée à la transformation digitale :
    • Dans le détail c’est : 10 000 positions supprimées, dont 4 000 reconversions et 6 000 départs, 12 000 positions créées, dont les 4 000 reconversions et 8000 créations. Bilan net + 2 000.
    • La clé pour l’entreprise est la « workforce management strategy » définie par la direction pour piloter les impacts sur les collaborateurs de façon optimale.
    • On développe la capacité des équipes à apprendre-oublier-réapprendre (learn-unlearn-relearn)

 

La robotisation va se généraliser, et plutôt rapidement

  • La rentabilité est certaine – toutes les entreprises ont des processus administratifs qui peuvent être automatisés.  
  • La faisabilité augmente tous les jours avec des applications de plus en plus performantes, intégrant des composantes d’IA pour traiter les données.
  • L’image projetée est celle du batteur de baseball, devant le lanceur qui va envoyer la balle à 100 km/h… si on n’est pas prêt à frapper cela va faire « strike » !
  • Les directions générales qui savent installer la culture de transformation nécessaire auront les meilleures chances de taper dans la balle.

 

Les applications de mise en œuvre de RPA progressent à une vitesse phénoménale  

Désormais il suffit d’installer un « copieur » sur les postes des employés, et le système détecte toutes les actions (exemple : cliquer là, copier des données d’application A à B…) et les analyse ensuite avec un outil I.A. afin d’identifier automatiquement les processus et même les règles associées. 

  • Le système indique un taux de faisabilité d’automatisation des processus. A titre d’exemple, si on fait suivre un processus de validation de factures reçues, le robot reconnaît les étapes et le type de processus et indique une faisabilité d’automatisation élevée. 
  • il permet l’établissement d’un programme de mise en œuvre basé sur la faisabilité

Ces faisabilités n’enlèvent en rien de l’importance de l’impact humain. 

Le paysage éditeurs de logiciel RPA évolue aussi rapidement – les leaders de 2017 ne sont plus les mêmes aujourd’hui, fin 2018.    

 

Deux leaders de logiciels RPA témoignent

L’informatisation du monde du travail, depuis ces 30 dernières années, n’a pas permis de rendre les équipes plus performantes, bien au contraire. La plupart des manageurs ont trop de travail, ne s’en sortent pas mieux qu’avant. Pourtant, la population d’Europe a commencé à décliner et la décroissance doit se poursuivre – nous devrons faire plus avec moins. Cette révolution numérique sera différente. 

La RPA est-elle la solution ?

La numérisation est la seule façon de gérer les océans de papier que nous générons. 80% des clients des entreprises souhaitent des temps de réponse plus rapides de leurs fournisseurs, et plus d’attention. La libération des ressources par la robotisation va permettre aux équipes de mieux s’occuper des clients, ET d’améliorer les conditions de travail de tout le monde.  

On note en passant que la génération Y ne souhaite pas du tout travailler sur des tâches routinières et répétitives.  La robotisation transfère ces tâches à des robots, permettant ainsi aux équipes de se consacrer à des tâches plus intéressantes, à plus forte valeur ajoutée.  La plupart des personnes réalisant des tâches sont concernées – et aussi capables d’évoluer. 

Les tâches administratives, réalisées en « back-office », sont presque toutes robotisables. Une banque américaine a installé un robot sur chaque poste de travail afin de copier chaque clic réalisé. Elle a déjà plus de 10.000 « bots » en action. Les gens s’adaptent plutôt bien – let people be amazing and they will be amazing ! 

Les étapes à suivre : découvrir (copier et analyser) – sélectionner (les processus à automatiser en priorité) – automatiser. Les deux premières étapes prennent 70% du coût complet; il y a donc un investissement initial à faire avant de réaliser des bénéfices.  

Une fonction clé à installer est le Centre d’Excellence, avec un sponsorship fort de la direction générale. Installer une culture de la performance associée à la robotisation et à l’enrichissement des conditions travail devient possible.     

 

Une Roadmap – la « Workforce Management Strategy » – est nécessaire

Cette stratégie est nécessairement portée par la direction générale. Elle promeut le talent digital – qui permet de réaliser la transformation.

Les robots ne remplaceront jamais toutes nos activités.

On distingue 3 caractéristiques opposées : la machine gère les données, les analyses cognitives et peut fonctionner en remote (à distance) ; elle ne remplacera jamais les émotions, la créativité et la capacité manuelle de l’humain.

 

Ces talents assureront le maintien du rôle de l’humain et permettront aussi une meilleure gestion des machines pour améliorer les conditions de travail. Le Centre d’Excellence consolidera les initiatives de robotisation (souvent transverses) qui seront proposées par des petites équipes autonomes qui identifient elles-mêmes les processus pouvant être automatisés. 

Cette culture rendra l’entreprise plus attractive et lui permettra de recruter les personnes souhaitant partager ce bien-être au travail.  

Rabobank au Pays Bas a engagé une démarche d’automatisation depuis 2 ans. 

Le projet a été lancé pour deux raisons principales : 

  • Améliorer la Work-Life Balance des employés
  • Donner du temps aux opérationnels d’automatiser leurs propres processus routiniers

La banque a constaté que les équipes n’avaient pas le temps de travailler sur la performance de leurs processus. Trop pris par les urgences, les problèmes… ils ne s’en sortaient pas. L’arrivée d’applications pouvant analyser les processus automatiquement a déclenché le projet. 

Les fonctions métier sont les moteurs du projet, la DSI en support. Chaque métier a développé sa propre capacité à automatiser ses processus. Ils ont créé un Centre d’Excellence pour comparer les approches et avancer de façon concertée. 

Application du PDCA (plan-do-check-act) à la démarche

Après 2 ans ils ont 110 « bots » au travail, réalisant l’équivalent de dizaines d’équivalent temps plein en tâches répétitives. La qualité des données est en augmentation. 

Fallait-il travailler les processus en amont, les rendre plus « lean », avant d’automatiser ? NON ! La robotisation de processus inefficaces est tout à fait possible, et rend le travail d’amélioration plus facile par la suite. 

Faut-il avoir peur ou être optimiste ? 

Peur des conséquences de la robotisation, mais peur aussi si on ne le fait pas. Cette fois la démarche paraît encore plus puissante, mais aussi avec des issues positives. Un facteur inquiétant est que nous ne savons pas exactement où cela va nous amener. 

Optimisme car le potentiel de performance est immense, et que cela semble aller dans le sens d’une amélioration du bien-être au travail. 

La Workforce Management Strategy doit assurer l’accompagnement nécessaire tout au long de la transformation, par des formations de reconversion, et des filets de sécurité pour ceux qui en auront besoin. 

Le mot de la fin, en anglais : paranoid optimism.  

FITT France présent à la JAP 2018 du Pôle Systematic

Le 24 octobre dernier, FITT France participait doublement à la Journée Ambition PME 2018 du pôle de compétitivité SYSTEMATIC avec Joëlle Gauthier (membre du comité stratégique de FITT France, conseillère à la Stratégie et la Transformation auprès de SYSTEMATIC) et Patrick Giry-Deloison (membre du bureau de FITT France).

Patrick Giry-Deloison, Jean-Noël de Galzain et Fadwa Sube

Cette initiative du plus grand pôle de compétitivité français a été l’occasion d’annoncer les 6 Champions de la promotion 2018/2019 : BioSerenity, CybelAngel, Evolucare, InterCloud, OpenDataSoft et Sequans. Cliquer ici pour retrouver les photos de l’événement qui a rassemblé plusieurs centaines d’acteurs de l’écosystème de l’innovation technologique.

Depuis 2011, le Pôle de compétitivité Systematic Paris-Région sélectionne et accompagne des PME innovantes à fort potentiel de croissance dans le secteur du numérique sous le label CHAMPIONS.

Ces entrepreneurs talentueux ont trois mérites en commun : la croissance rapide de leur structure, une différenciation technologique, des implantations et des ambitions à l’international.

Patrick Giry-Deloison avec Jean-Luc Beylat

 

Le Pôle Systematic est présidé par Jean-Luc Beylat, vice-président chargé des écosystèmes innovants chez Nokia et Président de Nokia Bell Labs France. Il est secondé par Jean-Noël de Galzain (Président directeur général de Wallix), Antoine Petit (Président d’INRIA) et Fadwa Sube (Présidente d’Optiva Darana), tous trois Vice-Présidents, respectivement en charge du développement des entreprises, des technologiques clés et de l’international.

9/10/2018 : Start-ups et grandes entreprises – de l’intention au contrat

Le processus Achats standard des grandes entreprises doit s’adapter aux contraintes des start-ups pour qui temps et cash sont des éléments vitaux. Faute de quoi, très peu de ces pépites issues des hackathons, incubateurs et accélérateurs de l’éco-système florissant des start-ups françaises pourront se développer, créer de l’emploi et de la valeur. C’est ce que rappelle l’article « Relation grands groupes et start-up :encore du chemin » à la suite du sondage réalisé par Le Village by CA.

Cependant plusieurs entreprises ont réussi à transformer leur modèle de sourcing et de contractualisation avec les start-ups et c’est autour des retours d’expérience de ces binômes gagnants que s’organisera la Rencontre FITT France « Start-ups et grandes entreprises – de l’intention au contrat » au cours de la matinée du 9 octobre 2018.

Le programme de la Rencontre donnera la parole à des binômes « grande entreprise + start-up » qui partageront leur retour d’expérience de la mise en place d’une relation « business » pérenne : les conditions du succès, les bénéfices matériels et immatériels à attendre, les écueils qu’il faut anticiper et gérer, les adaptations des processus habituels de sourcing, les différences d’intention et d’objectifs des différentes parties, les enjeux opérationnels et stratégiques de la démarche, etc.

Ces dialogues seront animés par un membre de FITT France et comporteront un large temps d’échange avec les participants.

Programme de la Rencontre :

  • Ouverture des débats par Jean-Pascal Tranié, président de NeuillyTech – la pépinière distribuée de la ville de Neuilly-sur-Seine, et partenaire de l’événement.
  • 3 retours d’expérience de binômes « grande entreprise – start-up »
  • Presentation par Flora Coppalini des dispositifs d’accompagnement du Hub Bpifrance.
  • Synthèse et clôture des échanges par Patrick Ottavi, associé du cabinet Balthazar, adhérent de FITT France.

 

Avec la participation de

 

Start-ups

La Rencontre s’adresse aux

  • Décideurs au sein de grandes entreprises et ETI issus de toutes les fonctions et tous les secteurs d’activités.
  • Partenaires de ces entreprises (cabinets de conseil, ESN, experts métiers, juristes, …)
  • Responsables de start-ups
  • Acteurs de l’écosystème (investisseurs, agences publiques, collectivités, etc.)

 

La Rencontre commencera à 8h30, avec un accueil à partir de 8h00, et se terminera  à midi.

Elle aura lieu dans l’espace de co-working NEXTDOOR au 88, avenue Charles De Gaulle à Neuilly-sur-Seine (métro Sablons, ligne n° 1).

Nous vous tiendrons informés du programme. Pour ce faire, nous vous invitons à vous inscrire à notre Newsletter (à droite de l’écran) si ce n’est déjà fait.

Pour vous inscrire (obligatoire) : cliquez ici.

Rappel : la participation aux Rencontres FITT France est gratuite pour les membres individuels et collaborateurs des entreprises adhérentes de l’association.

 

Rencontre organisée en partenariat avec NeuillyLab et NeuillyTech, et nos adhérents BalthazarBetter Buying Concepts, Comatch, InwibeIsahit, Nextdoor et SaMaTransformation et la participation du Hub Bpifrance.

 

 

 

Impact Sourcing & IT : bénéfices et impacts ?

Retour sur la Rencontre du 7 février 2018

 
Cette quatrième rencontre annuelle sur l’Impact Sourcing a permis d’apporter un éclairage sur l’externalisation socialement responsable grâce à la confrontation des expériences d’acteurs leader en France de l’Impact Sourcing : GISC, isahit, EDF, Acces et la Fondation Accenture.
 

Le numérique, plus que de la technologie

 
Les problématiques liées à la mise en œuvre concrète des nouvelles technologies numériques et la transformation nécessaire pour bénéficier des améliorations de performances associées sont au cœur des travaux de l’association FITT France. À cet égard l’Impact Sourcing apparaît comme une pratique à adopter pour l’avenir des entreprises. En effet, il répond à un double besoin : le développement économique et l’inclusion sociale. La démarche présente un fort potentiel qui est aussi un véritable challenge. Il est donc primordial de comprendre l’Impact Sourcing grâce à des retours d’expérience de mises en œuvre opérationnelles.
 

L’externalisation, aussi socialement responsable

 
Concrètement qu’est-ce que l’Impact Sourcing ? C’est l’externalisation socialement responsable qui permet de confier des micro-tâches à des acteurs travaillants dans des pays et milieux défavorisés, donc avant tout des personnes qui n’auraient pas pu travailler sans cette approche. Il ne faut pas perdre de vue que demain, le travail sera majoritairement digital et que la fracture numérique est un enjeu de taille pour les populations défavorisées. Le but étant pour les entreprises d’externaliser une partie de leurs activités digitales : services informatiques (Information Technology Outsourcing, ou ITO) ou traitements administratifs (Business Process Outsourcing, BPO), tout en respectant une charte de responsabilité sociétale.

Les motivations sont donc autant sociétales qu’économiques. (…)
 

>> Cliquer ici pour lire la suite<<

(réservé aux adhérents de FITT France)

Quelle gouvernance pour la transformation digitale ?

Prochaine Rencontre FITT France consacrée à l’épineux sujet de la gouvernance !

 

Le 27 avril, nos intervenants présenteront leurs approches et les bonnes pratiques qui ont contribuées à la réussite de leurs projets de transformation digitale (Cloud, XaaS, RPA, IA,…) ainsi que la mise en place de Centres de Services Partagés et de contrats d’externalisation.

La bonne gouvernance est vitale pour la réussite de projets de transformation, de contrats d’activités externalisées, de toute relation client – prestataire avec des enjeux forts.  De plus, et l’article « Debunking the Myths of Governance » de notre adhérent ISG le rappelle, il règne une certaine confusion sur ce qu’est la gouvernance dans ce contexte. Nous traitons d’ailleurs de la gouvernance des projets de sourcing dans nos formations « Les Ateliers du Sourcing » pour lesquelles nos adhérents bénéficient d’une remise de 25%.

Pour cette Rencontre FITT France, nous accueillerons :

 

La rencontre sera animée par Jost Bescht d’Infosys – entreprise adhérente de FITT France – et se tiendra le 27 avril 2017 à l’hôtel Intercontinental Marceau au 64, avenue Marceau 75008 Paris. Accueil à partir de 8h00. La réunion se tiendra de 8h30 à 10h15 précises.


Nokia – un des leaders mondiaux des  produits, services et licences à l’intention des fournisseurs de services de télécommunications, des gouvernements, des grandes entreprises et des consommateurs – a développé et mis en oeuvre au cours de ces dernières années une stratégie globale d’externalisation dans laquelle un cadre de gouvernance performant a permis d’assurer que les engagements avec les fournisseurs soient alignées avec celles de la stratégie d’entreprise

Nokia est représenté au Comité Stratégique (cliquer ici) de notre association par Joëlle Gauthier, VP Strategy & Portfolio – Workplace Resources.

 

ISG précisera pourquoi les nouvelles stratégies de sourcing, qui incluent les solutions Cloud, XAAS, Shared services, Selective outsourcing, Captive, RPA, etc… ont remis au premier plan la nécessité d’une gouvernance adaptée et performante. ISG a une longue expérience et connaissance des best practices en ce domaine et a développé des framework (organisation et process) et des outils pour les mettre en œuvre (DVM, Digital Vendor Management) qui adressent tous les composants d’une gouvernance (Performance, Risk & Control / Compliance, Invoicing, Finance, Relationship, Contract management, Assessment, Monitoring,…).

 

ISG  est un leader mondial de l’analyse des technologies et du conseil. Plus de 700 entreprises font confiance à ISG, dont 75 des 100 plus grandes entreprises mondiales. ISG conseille les organisations des secteurs privé et public, ainsi que les fournisseurs de service qui visent l’excellence opérationnelle et une croissance rapide. La société se spécialise dans la transformation digitale, y compris l’automation, le cloud et le data analytics ; le conseil en sourcing ; la gestion de la gouvernance et des risques ; le conseil en télécommunications ; la stratégie technologique et la conception des opérations ; la gestion du changement ; l’analyse des marchés et l’étude des évolutions technologiques.  Fondée en 2006 et basée à Stamford dans l’état du Connecticut, ISG compte plus de 1300 employés, présents dans plus de 20 pays.

 

Wipro est une société mondiale de technologie de l’information, de conseil et d’externalisation, qui réalise des projets dans plus de 175 villes à travers 6 continents, dans les domaines IT (Business Application Services, Infrastructure, Analytics), Business Process Services, Ingénierie technique et Digital. Gilles Grangé nous expliquera comment WIPRO collabore avec ses clients dans le cadre d’une gouvernance proactive, dynamique et mutuellement bénéfique.

Plus spécifiquement concernant la gouvernance, Wipro propose une gamme de services professionnels qui comprend

  • Business-IT Alignment : pour maximiser la collaboration entre les métiers, les fonctions et l’informatique.
  • Planification, hiérarchisation et équilibrage de la demande : pour simplifier la saisie et la filtration de la demande, planifier et équilibrer la demande par rapport à la capacité de créer une capacité de livraison de taille adéquate pour soutenir la demande en ressources informatiques.
  • Conception du modèle opérationnel informatique : conception et développement du modèle opérationnel cible pour atteindre les objectifs de l’entreprise en matière d’informatique pour l’avenir.
  • Gouvernance du sourcing : pour permettre une mise en œuvre efficace de la stratégie d’approvisionnement.

EOA France, partenaire de Boost-Industrie organisé par l’AFNeT

 

Organisé par l’AFNeT, la 3ème édition de Boost-Industrie se déroulera le 18 novembre 2015 de 8h30 à 18h30 dans les locaux du MEDEF à Paris.

Un panorama sur la transformation numérique de 5 filières industrielles majeures sera présenté : aéronautique, BTP, ferroviaire, naval et nucléaire.

 

Au programme :

  • Intervention de Christian Poyau, président de la Commission Transformation numérique du MEDEF et PDG de Micropole,
  • Intervention de Pascal Daloz, président d’honneur de l’Alliance pour l’Industrie du Futur, association qui a été mandatée par l’État pour mettre en place le plan d’action « Industrie du Futur ». Un appel à projets de 100 millions d’euros vient d’être annoncé,
  • Panorama de la transformation numérique de 5 filières industrielles (aéronautique, BTP, ferroviaire, naval, nucléaire) animé par
    • Pierre Faure (président de l’AFNeT, fondateur de BoostAeroSpace, directeur e-business, CRM et KM chez Dassault Aviation),
    • Alain Bullot (délégué général Fer de France),
    • Pierre Béroux (vice-président AFNeT; directeur de la transition numérique industrielle EDF),
    • Bertrand Delcambre (président du Plan de transition numérique du bâtiment),
    • Fabrice Théobald (délégué général adjoint du GICAN), Roland Mestre (Développement Filières Industrielles / Plan « Océans 21 » du GICAN),
  • Table ronde prospective sur l’usage des objets connectés dans les filières industrielles.

 

Une table ronde sera également consacrée à  la dynamique intersectorielle initiée par l’AFNeT, dont Boost-Industrie est la partie émergée, expliquant pourquoi plusieurs acteurs clés de 4 filières (automobile, aéronautique, ferroviaire et nucléaire) ont décidé de jouer collectif.
Cette journée sera clôturée par Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du Numérique, auprès du ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique.


Pour assister à cet événement, inscription gratuite mais obligatoire (suivre ce lien).