Actualités

CNP Assurances rejoint FITT France !

Nous nous réjouissons que CNP Assurance fasse dorénavant partie du Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation et contribue ainsi au développement de la communauté des manageurs de la #transformation.

CNP Assurances est le 1er assureur de personnes en France avec un résultat net de 1 367M€ en 2018. Le Groupe est présent en Europe et en Amérique latine, avec une forte activité au Brésil, son second marché.

Il compte plus de 37 millions d’assurés en prévoyance/protection dans le monde et plus de 14 millions en épargne/retraite. Assureur, coassureur et réassureur, CNP Assurances conçoit des solutions de prévoyance et d’épargne innovantes. Elles sont distribuées par de nombreux partenaires et s’adaptent à leur mode de distribution, du réseau physique au 100 % online, et aux besoins des clients de chaque pays.

CNP Assurances est cotée à la Bourse de Paris depuis octobre 1998 et s’appuie sur un actionnariat stable (la Caisse des Dépôts, La Banque Postale, le Groupe BPCE et l’Etat français).

L’innovation à CNP Assurances

« La société, les modes de vie et les formes de travail se diversifient, chaque personne exprime des besoins particuliers. Aussi, CNP Assurances ne pense plus « produits », mais « solutions sur mesure ». Cette nouvelle conception de l’assurance exige d’innover à tous les niveaux : avec nos partenaires et nos clients, à l’aide de méthodes disruptives. »

Pour en savoir plus sur la démarche d’innovation de notre adhérent  CNP Assurances, cliquez ici.

Automation Anywhere rejoint FITT France !

Nous nous réjouissons qu’Automation Anywhere fasse dorénavant partie du Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation et contribue au développement de la communauté des manageurs de la #transformation.

Automation Anywhere valorise les personnes dont les idées, les pensées et les efforts contribuent à rendre meilleures les entreprises pour lesquelles elles travaillent. L’entreprise conçoit la plateforme de force de travail numérique la plus sophistiquée au monde afin de libérer les individus et de rendre les tâches plus humaines, à travers une automatisation des processus des entreprises.

Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire l’étude « Can Automation Make Work More Human? » conjointement réalisée par Goldsmiths, University of London, et Automation Anywhere en cliquant ici.

 

Wojo rejoint FITT France !

Nous nous réjouissons que Wojo fasse dorénavant partie du Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation et contribue au développement de la communauté des manageurs de la #transformation.

#WorkShareLive

Wojo est un acteur majeur du marché des nouveaux lieux de vie au travail, lancé par Bouygues Immobilier en 2015 sous la marque Nextdoor. En 2017, Bouygues Immobilier et Accor, s’associent à 50/50 au capital de Wojo.

Début 2019, Nextdoor devient Wojo et accélère son développement, avec l’ambition de devenir le premier réseau de coworking en Europe.

Aujourd’hui, Wojo compte 8 sites à Paris et en Ile-de-France et 2 à Lyon, répartis sur 50.000 m2, accueillant plus de 5.000 membres.

En déployant une nouvelle typologie d’espaces de travail : les Wojo Spots et les Wojo Corners, en plus de ses sites actuels, le réseau entend répondre aux besoins de ses membres, et notamment permettre à chacun de pouvoir travailler à moins de 10 minutes de l’endroit où il se trouve.

À l’horizon 2022, Wojo accueillera plus de 40.000 membres et comptera plus de 1.200 adresses, dont plus de 1000 Wojo Spots, 100 Wojo Corners et 50 sites Wojo à travers l’Europe.

Stéphane Bensimon, président de Wojo, porte cette vision : « Notre ambition est d’être l’acteur référent de la « workspitality » en développant, à travers le monde, un important réseau de lieux, créateurs d’expériences de travail uniques, enrichis de services, pensés pour le plaisir, la performance et la connexion des talents. »

Où en êtes-vous de votre maturité digitale ?

« La transformation numérique : tout le monde en parle, peu agissent vraiment« . Est-ce vrai ? A FITT France, on avait envie d’en plus savoir.

 

Nous avons donc conçu un très court questionnaire pour connaître votre niveau de maturité sur le sujet. Notre objectif est de sonder l’état d’avancement des entreprises et organisations en France pour proposer des Rencontres encore plus utiles à vous et à tous les manageurs de la transformation. 

 

Pour vous remercier pour votre contribution, nous vous invitons à assister gratuitement à la prochaine Rencontre FITT France.

 

Cliquer ici pour répondre à notre enquête et gagner une place gratuite à la Rencontre du 23 mai

FITT France @ ISG Automation Summit, 15-16 mai 2019

Tony Bocock, président de FITT France, interviendra lors de l’ISG Automation Summit des 15 et 16 mai 2019 à Paris.

Nous entrons dans la prochaine phase d’une transformation technologique: l’intelligence artificielle, l’automatisation des processus robotiques et l’automatisation cognitive influencent de plus en plus la vie personnelle et professionnelle des consommateurs et, par conséquent, commencent à remodeler les industries telles que nous les connaissons. Les informations circulent constamment dans un nombre croissant de dispositifs, tels que des machines, des voitures, des biens de consommation, des vêtements et des dispositifs médicaux, et créent un stock de données. Les entreprises devront exploiter efficacement ces données pour faire évoluer leurs organisations et rester compétitives en ces temps de changements considérables.

L’ISG Automation Summit 2019 associe une orientation stratégique et des conseils pratiques sur les promesses et les risques de l’automatisation. L’automatisation des processus (RPA), les technologies cognitives et le blockchain créent un avantage concurrentiel grâce à l’amélioration des processus dans des domaines tels que le service client, les opérations de back-office et la gestion des entrepôts.

Les participants repartiront avec une compréhension claire de l’opportunité d’automatisation dans leur environnement informatique ou de services métier, ainsi que de la manière de construire l’analyse de rentabilité et de commencer le processus d’automatisation.

Informations et inscription : cliquer ici.

Nous contacter à FITT@FITT-France.org pour bénéficier de la réduction réservée aux collaborateurs des entreprises adhérentes de FITT France.

Jean-Pierre Schmitt, enseignant-chercheur, rejoint le comité stratégique de FITT France

Nous avons le plaisir d’accueillir Jean-Pierre Schmitt, enseignant-chercheur de réputation internationale, au sein de notre comité stratégique.

« Nous nous réjouissons que Jean-Pierre ait accepté notre invitation à rejoindre notre instance de gouvernance stratégique. Il va nous faire bénéficier de sa très grande expérience de la transformation des organisations dont il est un spécialiste reconnu, en particulier sous l’angle des organisations responsabilisantes » a précisé Tony Bocock, président du Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation.

A la fois opérationnel, consultant, enseignant et chercheur, Jean-Pierre Schmitt est aussi fortement investi dans les questions liées à l’innovation.

Pour plus d’informations sur le Comité Stratégique de FITT France, cliquer ici.

Impact Sourcing – Pour quoi faire ?

isahit, start-up adhérente de notre association, fait le point

 

La Rockefeller Foundation définit l’impact sourcing comme “une pratique d’inclusion sociale par l’emploi, par laquelle les sociétés donnent du travail à des populations jeunes issues de milieux défavorisés”.

 

Une dynamique d’innovation grâce au digital

 

L’impact sourcing se différencie du sourcing traditionnel (qui consiste à externaliser tout ou partie de l’activité d’une entreprise pour éviter des coûts) grâce à son impact sur la société, en favorisant l’inclusion sociale des personnes les plus éloignées de l’emploi.

L’impact sourcing est né d’un changement de paradigme dans la lutte contre la pauvreté et d’une volonté de réduire les inégalités grâce au travail. En francais, on traduit “Impact Sourcing” par “Externalisation socialement responsable”. D’après une étude réalisée par le groupe Everest, en 2014, les travailleurs de l’impact sourcing seraient plus motivés, plus fidèles, et la qualité du travail serait supérieure à celle de l’externalisation traditionnelle.

L’impact sourcing concerne le plus souvent l’externalisation des services informatiques ou de traitements administratifs, bien que la R&D et que d’autres services puissent être concernés. Malgré son impact social important, l’impact sourcing ne coûte pas plus cher aux entreprises qui externalisent puisqu’il est concurrentiel face au sourcing traditionnel en proposant les mêmes services aux mêmes tarifs et avec une qualité identique. Les entreprises ayant recours à l’impact sourcing en tirent un double bénéfice: un excellent rapport qualité/ prix ainsi que l’avantage de participer à un projet responsable qui peut s’inscrire dans le cadre de leur politique RSE. Trois entreprises nord-américaines se partagent le marché de l’impact sourcing et externalisent essentiellement en Inde et en Afrique anglophone.

Isahit, une jeune start-up française et adhérent de FITT France, a récemment fait son entrée sur le marché de l’impact sourcing et externalise en Afrique en faisant travailler des personnes en situation de précarité, principalement des femmes. La plateforme internet met en relation des travailleurs socio-économiquement défavorisés, dans des pays d’Afrique francophone, avec des entreprises françaises qui cherchent à externaliser une partie de leurs activités digitales. Isahit s’adresse aux personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté défini à 2$ / jour.

Plus de 400 jeunes femmes travaillent pour Isahit en Afrique, ce sont des “hiteuses”. Les hiteuses travaillent sur des tâches digitales qui peuvent être aussi variées que de l’analyse de données, de la recherche d’informations ou encore de la modération de contenus. Isahit se positionne comme un complément de revenu qui permet pour une durée de travail de 3 heures/jour de gagner 250€ /mois. Ce complément de revenu permet aux hiteuses de concrétiser un projet professionnel comme de créer une entreprise ou de reprendre leurs études.

La force d’isahit réside dans l’accompagnement de ses hiteuses, des formations sont offertes aux hiteuses pour leur permettre de s’approprier les outils du numérique, d’internet et les codes du monde du travail. La fracture numérique est un enjeu de taille pour les populations défavorisées, en particulier pour les femmes. Isahit propose également un accompagnement personnalisé dans chaque pays, un ‘“huber” est le référent d’isahit et permet de faire le lien entre l’équipe parisienne et les hiteuses. Isahit encourage les hiteuses à sortir de l’économie informelle par leur bancarisation et en se déclarant auto-entrepreneur.

Isabelle Mashola, CEO d’isahit

Le cabinet KIMSO, spécialisé dans la mesure d’impact social a défini avec isahit 6 critères de mesure de son impact : la famille, l’éducation, l’emploi et le revenu, la santé, l’hébergement et l’épanouissement personnel. Ces critères permettent de mesurer l’impact concret d’isahit dans la vie des hiteuses avec la méthode SROI[1].

L’Impact Sourcing est un axe fort de FITT France qui a été parmi les premiers à faire connaître ce mouvement il y a maintenant plus de 3 ans. Des entreprises telles qu’isahit démontrent la pertinence de ce business model innovant rendu possible par la révolution numérique.

Pour en savoir plus sur l’Impact Sourcing, vous pouvez contacter Isabelle Mashola – présidente et co-fondatrice d’Isahit, membre du Bureau de notre association : isabelle@isahit.com

 

[1] Social Return on Investment

Rencontres 2019

Notez dès à présent le programme de nos Rencontres en 2019. Nous vous communiquerons prochainement tous les détails.

 

Wishibam for business rejoint FITT France !

Nous nous réjouissons que Wishibam for business fasse dorénavant partie du Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation et contribue au développement de la communauté des manageurs de la #transformation.

 

Wishibam for business est une start up qui propose des solutions digitales pour les retailers dans le but d’offrir aux clients une expérience d’achat réellement omnicanale. 

Sa conviction est qu’il faut réconcilier le commerce en ligne et magasin avec des outils digitaux pour aller plus loin dans la personnalisation et les services proposés aux clients.

 

FITT France à Londres pour la conférence Robotisation et Intelligence Artificielle de l’IRPA/AI

Le 12 novembre dernier, l’association IRPA/AI – dont FITT France est partenaire – organisait à Londres une conférence sur le thème « The AI enabled enterprise« . Tony Bocock, Président de FITT France, y a participé et animé l’une des tables rondes. Il nous fait part de ses impressions et des points saillants de l’événement.

 

Deux points clés à retenir

  • Le concept de « workforce management strategy » est clairement établi. Il ne s’agit plus de conduire des projets RPA, IA, isolés… l’entreprise qui réussira sa transformation y arrivera grâce à une stratégie pertinente de gestion des ressources humaines. 
    Ce point confirme l’importance de notre événement le 13 décembre prochain sur « le côté humain et la transformation « 
  • On ne parle plus de l’effet dévastateur de la RPA sur l’emploi, plutôt l’inverse avec des exemples celui d’une banque britannique publie une annonce sur la création de 2 000 emplois dans le cadre d’une réorganisation associée à la transformation digitale :
    • Dans le détail c’est : 10 000 positions supprimées, dont 4 000 reconversions et 6 000 départs, 12 000 positions créées, dont les 4 000 reconversions et 8000 créations. Bilan net + 2 000.
    • La clé pour l’entreprise est la « workforce management strategy » définie par la direction pour piloter les impacts sur les collaborateurs de façon optimale.
    • On développe la capacité des équipes à apprendre-oublier-réapprendre (learn-unlearn-relearn)

 

La robotisation va se généraliser, et plutôt rapidement

  • La rentabilité est certaine – toutes les entreprises ont des processus administratifs qui peuvent être automatisés.  
  • La faisabilité augmente tous les jours avec des applications de plus en plus performantes, intégrant des composantes d’IA pour traiter les données.
  • L’image projetée est celle du batteur de baseball, devant le lanceur qui va envoyer la balle à 100 km/h… si on n’est pas prêt à frapper cela va faire « strike » !
  • Les directions générales qui savent installer la culture de transformation nécessaire auront les meilleures chances de taper dans la balle.

 

Les applications de mise en œuvre de RPA progressent à une vitesse phénoménale  

Désormais il suffit d’installer un « copieur » sur les postes des employés, et le système détecte toutes les actions (exemple : cliquer là, copier des données d’application A à B…) et les analyse ensuite avec un outil I.A. afin d’identifier automatiquement les processus et même les règles associées. 

  • Le système indique un taux de faisabilité d’automatisation des processus. A titre d’exemple, si on fait suivre un processus de validation de factures reçues, le robot reconnaît les étapes et le type de processus et indique une faisabilité d’automatisation élevée. 
  • il permet l’établissement d’un programme de mise en œuvre basé sur la faisabilité

Ces faisabilités n’enlèvent en rien de l’importance de l’impact humain. 

Le paysage éditeurs de logiciel RPA évolue aussi rapidement – les leaders de 2017 ne sont plus les mêmes aujourd’hui, fin 2018.    

 

Deux leaders de logiciels RPA témoignent

L’informatisation du monde du travail, depuis ces 30 dernières années, n’a pas permis de rendre les équipes plus performantes, bien au contraire. La plupart des manageurs ont trop de travail, ne s’en sortent pas mieux qu’avant. Pourtant, la population d’Europe a commencé à décliner et la décroissance doit se poursuivre – nous devrons faire plus avec moins. Cette révolution numérique sera différente. 

La RPA est-elle la solution ?

La numérisation est la seule façon de gérer les océans de papier que nous générons. 80% des clients des entreprises souhaitent des temps de réponse plus rapides de leurs fournisseurs, et plus d’attention. La libération des ressources par la robotisation va permettre aux équipes de mieux s’occuper des clients, ET d’améliorer les conditions de travail de tout le monde.  

On note en passant que la génération Y ne souhaite pas du tout travailler sur des tâches routinières et répétitives.  La robotisation transfère ces tâches à des robots, permettant ainsi aux équipes de se consacrer à des tâches plus intéressantes, à plus forte valeur ajoutée.  La plupart des personnes réalisant des tâches sont concernées – et aussi capables d’évoluer. 

Les tâches administratives, réalisées en « back-office », sont presque toutes robotisables. Une banque américaine a installé un robot sur chaque poste de travail afin de copier chaque clic réalisé. Elle a déjà plus de 10.000 « bots » en action. Les gens s’adaptent plutôt bien – let people be amazing and they will be amazing ! 

Les étapes à suivre : découvrir (copier et analyser) – sélectionner (les processus à automatiser en priorité) – automatiser. Les deux premières étapes prennent 70% du coût complet; il y a donc un investissement initial à faire avant de réaliser des bénéfices.  

Une fonction clé à installer est le Centre d’Excellence, avec un sponsorship fort de la direction générale. Installer une culture de la performance associée à la robotisation et à l’enrichissement des conditions travail devient possible.     

 

Une Roadmap – la « Workforce Management Strategy » – est nécessaire

Cette stratégie est nécessairement portée par la direction générale. Elle promeut le talent digital – qui permet de réaliser la transformation.

Les robots ne remplaceront jamais toutes nos activités.

On distingue 3 caractéristiques opposées : la machine gère les données, les analyses cognitives et peut fonctionner en remote (à distance) ; elle ne remplacera jamais les émotions, la créativité et la capacité manuelle de l’humain.

 

Ces talents assureront le maintien du rôle de l’humain et permettront aussi une meilleure gestion des machines pour améliorer les conditions de travail. Le Centre d’Excellence consolidera les initiatives de robotisation (souvent transverses) qui seront proposées par des petites équipes autonomes qui identifient elles-mêmes les processus pouvant être automatisés. 

Cette culture rendra l’entreprise plus attractive et lui permettra de recruter les personnes souhaitant partager ce bien-être au travail.  

Rabobank au Pays Bas a engagé une démarche d’automatisation depuis 2 ans. 

Le projet a été lancé pour deux raisons principales : 

  • Améliorer la Work-Life Balance des employés
  • Donner du temps aux opérationnels d’automatiser leurs propres processus routiniers

La banque a constaté que les équipes n’avaient pas le temps de travailler sur la performance de leurs processus. Trop pris par les urgences, les problèmes… ils ne s’en sortaient pas. L’arrivée d’applications pouvant analyser les processus automatiquement a déclenché le projet. 

Les fonctions métier sont les moteurs du projet, la DSI en support. Chaque métier a développé sa propre capacité à automatiser ses processus. Ils ont créé un Centre d’Excellence pour comparer les approches et avancer de façon concertée. 

Application du PDCA (plan-do-check-act) à la démarche

Après 2 ans ils ont 110 « bots » au travail, réalisant l’équivalent de dizaines d’équivalent temps plein en tâches répétitives. La qualité des données est en augmentation. 

Fallait-il travailler les processus en amont, les rendre plus « lean », avant d’automatiser ? NON ! La robotisation de processus inefficaces est tout à fait possible, et rend le travail d’amélioration plus facile par la suite. 

Faut-il avoir peur ou être optimiste ? 

Peur des conséquences de la robotisation, mais peur aussi si on ne le fait pas. Cette fois la démarche paraît encore plus puissante, mais aussi avec des issues positives. Un facteur inquiétant est que nous ne savons pas exactement où cela va nous amener. 

Optimisme car le potentiel de performance est immense, et que cela semble aller dans le sens d’une amélioration du bien-être au travail. 

La Workforce Management Strategy doit assurer l’accompagnement nécessaire tout au long de la transformation, par des formations de reconversion, et des filets de sécurité pour ceux qui en auront besoin. 

Le mot de la fin, en anglais : paranoid optimism.